Je relis la transcription d’une interview de moi, faite il y a huit ou dix ans. Je ne souviens pas qu’elle ait été publiée.
— Au paradis, quelles musiques y entend-on ?
— Aucune idée… Ah, si ! Sympathy for the Devil, peut-être… Au paradis, j’imagine qu’on prie pour ceux qui n’y sont pas.